Christine Lavant
UN ART COMME LE MIEN N’EST QUE VIE MUTILÉE
« Dans le concert de la poésie mondiale […] Christine Lavant (1915-1973) finira tôt ou tard par être reconnue à égalité avec les plus grandes, quelque part entre Anna Akhmatova et Ingeborg Bachmann. » Jean-Yves Masson, Magazine littéraire, n° 495, mars 2010
« C’est l’unité de cette poésie si variée que son ton agressif et amer, où Bernhard a pu se reconnaître, qui glisse de la plainte au ricanement, mêlant la dérision à l’imploration, la foi – disons le "besoin de consolation" – à la confiance impossible. L’œuvre ne laisse pas indifférent. Elle excite une attirance et un malaise. » Odile Hunoult, La Quinzaine littéraire, 1er-15 mars 2010